[Revue] La Fille de l’Air Iris, Courrèges

Publié le 3 octobre 2017 | Beauté

Bonjour chaton,

Ouais, on va encore parler parfum dis donc. Et encore Courrèges. Et encore fleur d’oranger. La meuf est pas du tout arrêtée sur ses classiques...
Je t’en avais parlé dans mon haul, j’ai eu le plaisir de recevoir la petite nouveauté de la marque, La fille de l’air Iris, via Octoly (je me suis pas faite trop prier, j’ai dû résister 3 secondes 45 environ quand je l’ai vu dans la liste).

André Courrèges disait : « Je veux voir une femme différente ». Ses parfums, c’est exactement ça. Des fragrances envoûtantes, senties nulle part ailleurs. Des bases basiques – la fleur d’oranger ça fonctionne plutôt bien sur pas mal de monde il me semble – sublimées par d’autres notes et qui en font de vrais bijoux. Tu l’as compris, j’en suis extrêmement fan.

Je ne te refais pas le focus sur la marque, tu peux le retrouver ici.

Le Flacon

Toujours aussi canon. Perso, j’aime pas ceux qui en font trop. Ici on reste dans la simplicité, sans perdre l’élégance pour autant.
Courrèges a gardé son flacon iconique, on change pas une équipe qui gagne. Toujours cette base cylindrique surmontée d’une sphère. Le tout en bleu cette fois ci, en transparence. Je l’ai toujours dit, c’est mieux pour voir ce qu’il te reste dedans et éviter de tomber en rade (dixit la meuf à qui ça n’arrivera jamais puisqu’elle en a une dizaine différents en cours d’utilisation).

Quant à la boite qui le renferme, on part sur la même base que le reste de la collection. Mais cette fois ci elle se pare d’un revêtement entre ciel et mer, entre nuages et houle. Une vraie invitation au rêve et au voyage.

Le parfum

Ce parfum débute par un profond sentiment de dynamisme. Cela se traduit par un assemblage de mandarine et de bergamote. Le néroli, absolu d’écorce et de feuilles d’oranger bigaradier, donne quant à lui un rayonnement solaire à ce parfum qui se poursuit en son cœur grâce à la présence de fleur d’oranger. Celle-ci est associée à la noblesse poudrée de l’iris et de l’héliotrope. Puis, cette saveur florale devient peu à peu plus sensuelle. La Fille de L’Air Iris s’achève par une base boisée de cèdre enrichie de musc blanc et de fève tonka. Le tout est signé du talentueux parfumeur Fabrice Pellegrin, un créateur guidé avant tout par ses émotions et ses envies de voyage. Autant vous dire que ce projet lui allait comme un gant !

Attention ! Warning ! odeur addictive !
J’adore la version originale de La Fille de l’Air, je suis encore plus fan de celle-ci. On sent la fleur d’oranger, certes, mais elle est sublimée par les autres notes, notamment celles d’iris, de mandarine et de bergamote. C’est une version plus sophistiquée, moins commune. Le parfum qu’on ne renifle pas sur tout le monde dehors.  Il se rapproche de mon chouchou Le parfum d’Elie Saab, dans le style. (revue ici) et on m’en fait beaucoup de compliments !

Pour le détail des notes :L’association est parfaite ! Bon, j’aurai bien été incapable de te ressortir tout ça, mais sache que le mélange sied parfaitement à mon nez. C’est tout ce qui m’importe.  Il rejoint directement Elie Saab dans le top 2 de mes parfums favoris. Sans que je puise te dire lequel est à quelle place.

Le prix

72€ les 50mL et 92.50€ les 90mL chez Nocibé.
49.50€ les 50mL et 63.50€ les 90mL chez Tendance Parfums.

Tu le connaissais, ce nouveau parfum ?
Il te tente ?
C’est quoi tes classiques à toi ?

Des bisous, Amandine

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